« Nous avons l’assurance qu’à cette époque du monde le Saint-Esprit travaillera avec une grande puissance, à moins qu’à cause de notre incrédulité, nous limitions nos bénédictions et perdions ainsi les avantages que nous pourrions obtenir… » {SW December 5, 1899 Par. 1}
« À partir du jour de la Pentecôte, le Saint-Esprit devait être répandu sur les fils et les filles, sur les serviteurs et les servantes ; des collines, des plaines et des vallées, il faut susciter d’humbles ouvriers pour le Seigneur. L’influence divine et sacrée du Saint-Esprit œuvrant dans notre monde doit être comme des signes et des miracles, parce que le peuple de Dieu est un peuple acquis, une nation sainte, brillant parmi les ténèbres morales, comme des pierres vivantes dans l’édifice du Seigneur. » {SW December 5, 1899 Par. 2}
« L’effusion du Saint-Esprit sur l’Église est envisagée comme un événement futur ; mais c’est le privilège de l’Église de la recevoir dès maintenant. Recherchez-la, priez pour la recevoir et croyez en elle. Nous devons l’obtenir et le ciel est prêt à nous l’accorder. » {Év 625.3}
« Ce que Satan redoute le plus, c’est que le peuple de Dieu prépare le chemin en faisant disparaître tous les obstacles, afin que le Seigneur puisse déverser son Esprit sur une Église languissante et une assemblée impénitente. Si le plan de Satan pouvait réussir, il n’y aurait jamais plus de réveil, ni grand ni petit, jusqu’à la fin des temps. Mais nous n’ignorons pas ses ruses. Il est possible de résister à son influence. Quand l’Esprit de Dieu aura la route libre, la bénédiction viendra. Satan ne peut empêcher les averses de bénédictions de descendre sur le peuple de Dieu, pas plus qu’il ne peut fermer les écluses du ciel pour empêcher la pluie d’arroser la terre. Ni méchants ni démons ne peuvent entraver l’œuvre de Dieu, ni priver de sa présence les assemblées de son peuple, pourvu qu’avec des cœurs contrits l’on confesse et rejette le péché, en implorant avec foi l’accomplissement des promesses. » {MC1 144.3}
« La seule raison de notre manque de puissance divine doit se trouver en nous-mêmes. Si la vie intérieure de ceux qui proclament la vérité leur était présentée, ils renonceraient au titre de chrétiens. » {AD 19.3}
« De son côté, Dieu ne manque pas de puissance, cependant son peuple manque de foi et d’humilité. Beaucoup d’entre nous ne sauraient pas comment utiliser cette puissance si nous la recevions. Apprenons du grand Maître ce que signifie marcher humblement, comme Christ a marché. » Ms. 49, 1908. (MR 900.19) {1SAT 396.3}
Matt. 11.28-30 : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur ; et vous trouverez le repos pour vos âmes. Car mon joug est doux, et mon fardeau léger. »
« Ne nous dit-il pas la vérité quand il déclare : “Mon joug est doux” ? Si nous nous fabriquons des jougs, comme beaucoup le font, nous les trouverons très irritants ; mais si nous prenons le joug que Christ nous a préparé, si nous devenons doux et humbles de cœur, le moi sera caché avec Christ en Dieu. Telle est la position que nous devons occuper. » {2SAT 275.1}
« Nous trouvons souvent qu’il nous est difficile de porter nos fardeaux, et c’est souvent le cas ; car Dieu n’a pas prévu que nous les portions. Mais quand nous prenons son joug et portons ses fardeaux, nous pouvons affirmer que le joug du Christ est doux et que son fardeau est léger. Il a prévu qu’il en soit ainsi. » {5BC 1091.2}
« Jésus vous invite à déposer le joug que vous portez et qui vous blesse le cou… le fardeau de l’amour-propre, de la convoitise, de l’orgueil, de la passion, de la jalousie et de la suspicion. Pourtant, les hommes tiennent fermement à ces malédictions et ne sont pas disposés à les abandonner. » {4T 240.3}
« Ce joug [que] vous craignez [de] placer sur votre nuque parce que vous le croyez humiliant, Jésus le dit doux. Le fardeau que vous n’osez pas toucher est léger. Tout ce qui vous est demandé, c’est de vous en emparer résolument, et vous découvrirez qu’il s’agit d’un soutien bien plus que d’un fardeau blessant. Cette croix qui vous paraît si peu commode à soulever, qui semble si lourde à porter, quand vous la saisirez joyeusement pour la brandir, c’est elle qui vous relèvera, vous soutiendra, vous fortifiera. ... » {LVH 368.4}
Le joug de l’obéissance
Le joug du service
Portés avec humilité et simplicité
Jean 6.38 : « … pour faire, non ma volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé. »
Rom. 1.1,2 : « … offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable… »
« Le joug et la croix sont des symboles représentant la même chose : l’abandon de la volonté à Dieu. » {5BC 1090.8}
« Qu’est-ce que “mon joug” ? C’est la soumission parfaite à Dieu. » {1SAT 152.3}
« ”Quand vous renoncerez à votre propre volonté, à votre propre sagesse, quand vous vous serez placés à l’école du Christ, vous serez admis dans le royaume de Dieu. Il exige une reddition complète, sans réserve. Laissez-le ordonner, forger, façonner votre vie. Prenez son joug sur votre cou. Consentez à être conduits, instruits par lui. Apprenez que vous n’entrerez jamais dans le royaume des cieux si vous ne devenez semblables à de petits enfants. » {MC1 129.2}
« La sainteté n’est pas une extase, c’est un abandon total à la volonté de Dieu. C’est vivre chaque parole qui sort de sa bouche, accomplir sa volonté, se réfugier en lui dans l’épreuve, dans les ténèbres aussi bien que dans la lumière ; c’est marcher par la foi et non par la vue, s’attendre à Dieu en toute confiance et se reposer sur son amour. » {CP 46.3}
« Le joug est un instrument de service. Le bétail est soumis au joug afin de fournir un travail effectif. Cette image est employée par le Christ pour montrer que nous sommes appelés au service aussi longtemps que dure notre vie. Il nous faut nous charger de son joug et devenir ainsi ses collaborateurs. » {JC 320.2}
« C’est la loi de Dieu qui est le joug du service. La grande loi d’amour révélée en Éden, proclamée au Sinaï, inscrite dans les cœurs aux termes de la nouvelle alliance, c’est elle qui lie l’ouvrier humain à la volonté de Dieu. » {JC 320.3}
« Si vous attendez du Seigneur une conversion journalière, si, de vous-même, vous aspirez à la liberté et à la joie qui résident en Dieu, si, répondant à l’appel de sa grâce, vous acceptez de porter le joug de l’obéissance et du service, alors tous vos murmures cesseront, vos difficultés seront aplanies, et les problèmes angoissants qui vous tourmentaient trouveront leur solution. » {HCQ 83.3}
« Quels que soient les engagements dans les affaires que quelqu’un ait pu contracter, s’il est chrétien, il doit porter le joug du devoir envers Christ. C’est son allégeance. Il doit se considérer comme étant lié par des obligations supérieures. Le Maître, Jésus-Christ, a placé son joug sur le cou de chaque disciple. En acceptant ce joug, la vie est consacrée à son service. Tout ce qui gêne ou empêche d’offrir un service parfait à Dieu doit être abandonné, quel qu’en soit sa nature ou son caractère… » {HP 201.4}
Ps. 25.9 : « Il conduit les humbles… Il enseigne aux humbles sa voie. »
Ps. 37.11 : « Les humbles possèdent le pays, et ils jouissent d’une paix abondante. » (Segond 21)
Ps. 149.4 : « … il accorde aux humbles le salut pour parure. » (Segond 21)
Michée 6.8 : « … que tu marches humblement avec ton Dieu. »
Matt. 5.5 : « Heureux ceux qui sont doux, car ils hériteront la terre ! » (Segond 21)
« La douceur est une qualité chrétienne précieuse. La douceur et l’humilité du Christ ne s’apprennent qu’en portant le joug du Christ… Ce joug représente une entière soumission. » {HP 236.2}
« Ceux qui prennent l’habitude de relever les fautes d’autrui manifestent une difformité qui fait le malheur des familles, qui fait que des âmes se détournent de la vérité pour suivre des fables. Le levain de méfiance qui vous anime, votre manque de confiance, votre tendance à la calomnie vous ferment cette porte. Rien ne peut franchir cette porte qui soit de nature à troubler le bonheur des habitants en détruisant leur confiance mutuelle…
Dans notre éloignement de Dieu, dans notre orgueil et nos ténèbres, nous cherchons constamment à nous élever nous-mêmes et nous oublions que c’est dans l’humilité d’esprit que réside la force. La puissance de notre Sauveur ne consistait pas en un déploiement d’arguments tranchants qui se seraient fait un chemin jusqu’à l’âme ; mais sa bonté et ses manières modestes et simples lui gagnaient tous les cœurs. L’orgueil et l’exaltation du moi, comparés à la modestie et à l’humilité, sont vraiment des faiblesses. » {3T 477.1}
« La douceur et l’humilité de Jésus sont la force du chrétien. Elles sont en effet plus précieuses que tout ce que le génie peut créer ou que la fortune peut procurer. » {CH 403.1}
« Jésus s’attend à ce que sa douceur et sa condescendance soient reproduites en ceux qu’il bénit. Jésus est venu dans notre monde et a choisi la vie la plus modeste, il a pris la position la plus humble, nous laissant un exemple pour que nous marchions dans ses traces. La Majesté divine était douce et humble de cœur, et elle s’attend à ce que tous ses disciples saisissent son esprit de douceur et d’humilité… » {ST August 22, 1895 Par. 1}
« Dans le monde, le chrétien sera méprisé et déshonoré, et consentira à être le moindre de tous et le serviteur de tous. Il se laissera offenser, maltraiter et persécuter, mais en portant le joug du Christ il trouvera du repos pour son âme, et le joug ne le blessera pas. » {ST August 22, 1895 Par. 5}
« La douceur est une grâce précieuse disposée à souffrir en silence, à supporter les épreuves. La douceur est patiente et elle s’évertue à se satisfaire dans toutes les circonstances. La douceur est toujours reconnaissante et elle compose ses propres chants de bonheur qui résonnent mélodieusement dans le cœur de Dieu. La douceur supporte la déception et l’injure sans se venger. Cela ne veut pas dire rester silencieux ou maussade. Un caractère morose est l’opposé de la douceur, car il ne peut que blesser le prochain et lui causer de la peine, sans procurer aucun plaisir. » {3T 335.1}
« Le Seigneur accomplissait sa tâche dans un esprit de soumission résignée, et c’est ce qui rendait son joug doux et son fardeau léger. Il se conformait à la loi de l’obéissance et du service, et il demande à ses disciples d’obéir aux mêmes principes qui l’ont rendu si utile partout. De cette façon, chaque homme doit être éduqué avant de pouvoir aimer Dieu de tout son cœur et son prochain comme lui-même. » {ST, June 16, 1898 par. 9}
« Quand vous trouvez que votre travail est difficile, quand vous vous plaignez des difficultés et des épreuves, quand vous dites que vous n’avez pas la force de résister à la tentation, que vous ne pouvez pas surmonter l’impatience, et que la vie chrétienne est pénible, vous pouvez être sûr que vous n’êtes pas en train de porter le joug du Christ ; vous portez le joug d’un autre maître. » {CG 267.3}
« Saisissez le bras de Dieu et dites : “Je ne suis rien, et tu es tout. Tu as dit : ‘Sans moi vous ne pouvez rien faire.’ Maintenant, Seigneur, demeure en moi, afin que je puisse demeurer en toi.” Ensuite, avancez pas à pas, demeurant en Jésus-Christ par une foi vivante. Voici ce que signifie porter son joug, le joug de l’obéissance (Ms. 1167 85, 1901). » {5BC 1092.1}
« L’humilité du cœur, la douceur, qui est le fruit de la présence du Christ en nous, voilà le vrai secret de la bénédiction… {HCQ 23.2}
C’est l’orgueil qui a ouvert la porte du monde au péché ; c’est par lui que nos premiers parents ont perdu la domination de la terre, leur royaume. Par son abnégation, le Sauveur a racheté ce qui avait été perdu et il déclare que nous devons vaincre comme il a vaincu. C’est en nous humiliant et en nous abandonnant à lui que nous deviendrons héritiers avec lui, au moment où les débonnaires “hériteront la terre”. » {HCQ 23.3}
« Les bénédictions liées à l’invitation du Christ ne peuvent être réalisées et appréciées que par ceux qui portent le joug du Christ. En acceptant cette invitation, vous renoncez à votre sympathie et à votre affection envers le monde, et vous les placez là où vous pouvez jouir de la bénédiction d’une communion étroite avec le Seigneur. En venant à Christ, vous liez vos intérêts aux siens. » {RH October 23, 1900 Par. 10}
« On trouve à l’exercice accompli avec ferveur et détermination et à l’obéissance aux ordres du Capitaine du salut une joie profonde et incomparable. La paix du Christ s’installera dans le cœur de tout soldat fidèle. L’âme trouve le repos en portant le joug du Christ, en soulevant les fardeaux de Jésus. Il peut sembler paradoxal de dire que l’âme humaine ne trouve de repos que dans un service constant et zélé. C’est pourtant vrai. Le bonheur de vivre se trouve dans un service volontaire et docile aux ordres de notre Capitaine, tandis que nous employons toutes nos forces à accomplir notre tâche dans l’harmonie et la joie. Plus la mission exige de responsabilités, et plus l’âme exulte d’être aimée et approuvée de Dieu. De l’accomplissement des tâches les plus pénibles naît la liberté. » Youth Instructor, December 22, 1886 {VRP 346.2}
« Oh, quelles bénédictions et quelles opportunités merveilleuses Dieu réserve à ceux qui portent le joug du Christ ! Des difficultés se présentent à nous parce que nous nous fabriquons nos jougs et refusons de porter celui du Christ. » {PUR, January 15, 1903 par. 3}
Deut. 4.29,30 : « … tu le trouveras… »
2 Chron. 6.37,38 : « … s’ils reviennent à toi et t’adressent des supplications… »
2 Chron. 7.11-14 : « … si mon peuple… prie… »
« Les anciens porte-drapeaux savaient combattre avec Dieu en prière ; ils jouissaient de l’effusion de son Esprit. Mais ils quittent le terrain de l’action ; par qui seront remplies les places vacantes ? Qu’en est-il de la nouvelle génération ? S’est-elle convertie à Dieu ? Nous rendons-nous compte de l’œuvre qui se poursuit dans le sanctuaire céleste, ou attendons-nous une force contraignante avant de nous lever pour l’action ? Attendons-nous que l’Église entière se réveille ? Ce temps ne viendra jamais. » {MC1 142.1}
« Il devrait y avoir plus de prière et de pleurs, et plus de confession des péchés à Dieu et les uns aux autres. Renoncez à l’indifférence, cessez de vous plaindre et de critiquer les autres, et utilisez ce temps, jusque-là gaspillé, à la prière de la foi vivante demandant le rafraîchissement de la part du Seigneur. Levons-nous comme un seul homme, et faisons appel à Dieu pour qu’il fasse descendre sa grâce sur ses enfants, et qu’il accomplisse son œuvre dans le cours des années. » {GW92 224.4}
« La prière est un devoir et un privilège. Nous avons besoin de l’aide que seul Dieu peut accorder, et cette aide ne viendra pas spontanément. Si nous sommes trop propres juste pour ressentir notre besoin de Dieu, nous ne recevrons pas son aide quand nous en aurons le plus besoin. Si nous sommes trop indépendants et remplis de nous-mêmes pour nous appuyer chaque jour par la prière sincère sur les mérites de notre Sauveur crucifié et ressuscité, nous nous exposons aux tentations de Satan. » {RH July 24, 1883 Par. 19}
« Je demandai à l’ange pourquoi il n’y avait pas plus de puissance en Israël. Il me répondit : “Vous doutez trop vite des promesses divines. Faites parvenir vos requêtes à son trône, et attendez avec foi. Croyez que vous recevrez ce que vous demandez, et vous le recevrez.” Le cas d’Élie me fut alors rappelé. Le prophète était sujet aux mêmes passions que nous, et il pria avec insistance. Sa foi triompha de l’épreuve. Il pria sept fois le Seigneur, et enfin la nuée apparut. » {19MR 130.1}
« Il m’a été montré que les anges de Dieu sont prêts à répandre la grâce et la puissance sur ceux qui sentent leur besoin de force divine. Mais ces messagers célestes n’accorderont pas leurs bénédictions à moins d’être sollicités. Ils ont attendu le cri de ceux qui ont faim et soif de la bénédiction de Dieu ; ils ont souvent attendu en vain. En effet, des prières superficielles ont été prononcées, mais pas des supplications ferventes, venant de cœurs humbles et contrits. Chaque réunion s’est terminée sans que l’Esprit et la puissance de Dieu se manifestent avec puissance. Les gens semblaient être satisfaits de ne pas s’élever plus haut ; ils semblaient ne pas attendre de réveil de l’œuvre de Dieu ; mais remplis de tristesse et déçus, les anges se détournaient de la scène de confusion où l’on démontait les tentes, et où les gens se préparaient à rentrer à la maison sans la bénédiction que le Ciel était plus que disposé à leur accorder. » {RH July 24, 1883 Par. 21}
« L’amour du Christ dans le cœur, révélant sa puissance merveilleuse au cours de la vie, voilà le plus grand miracle qui puisse être accompli devant un monde batailleur et déchu. Essayons de faire ce miracle, non pas de nous-mêmes, mais au nom du Seigneur Jésus-Christ que nous servons et à qui nous appartenons. Revêtons-nous du Christ, et la puissance miraculeuse de sa grâce sera ainsi pleinement révélée dans la transformation de notre caractère. Le monde sera alors convaincu que Dieu a envoyé son Fils sur cette terre pour transformer le caractère et la vie des hommes, pour les rendre semblables aux anges. » {LVH 225.2}
« Le Seigneur Jésus fait des expériences sur le cœur des hommes en manifestant sa miséricorde et sa grâce abondante. Il effectue des transformations si étonnantes que Satan… les voit comme une forteresse imprenable par ses sophismes et illusions. Elles sont pour lui un mystère incompréhensible. Les anges de Dieu, les séraphins et les chérubins, les puissances chargées de collaborer avec les humains, voient avec étonnement et joie que les hommes déchus, autrefois des enfants de la colère, développent des caractères à la ressemblance divine. » {TM 18.1}
« Le Christ a pourvu son Église de moyens abondants, en vue d’obtenir un riche revenu de gloire de la part de ses rachetés. L’Église, dotée de la justice du Christ, se trouve être son dépositaire : en elle doivent paraître, dans leur plénitude, et se déployer largement, les richesses de sa miséricorde, de sa grâce et de son amour. ... Le don riche et abondant de son Saint-Esprit doit être comme un mur de feu autour de son Église, contre lequel les puissances de l’enfer ne prévaudront point. Dans la pureté immaculée et dans la perfection sans tache de son peuple, le Christ voit la récompense de toutes ses souffrances, de son humiliation, et de son amour, ainsi que le complément de sa gloire. » {TM 18.2}
« Dieu réprimande son peuple à cause de leurs péchés, afin de les humilier et de les amener à rechercher sa face. Lorsqu’ils renonceront à leurs mauvaises voies, et que son amour ravivera leurs cœurs, Dieu répondra avec amour à leurs requêtes. Il les fortifiera dans leurs efforts de réforme, élevant pour eux un étendard contre l’ennemi. Ses riches bénédictions reposeront sur eux, et ils refléteront la lumière du ciel par des rayons éclatants. Alors une multitude de croyants des autres religions, voyant que Dieu demeure avec son peuple, s’uniront à eux au service de leur Rédempteur. » {RH, February 25, 1902 par. 16}